Alors je ne vous cache pas que j’ai vu le DRDA et que, le plus naturellement du monde, j’ai adoré! Ca m’a replongé dans mes souvenirs que de re-voir ces endroits où j’y ai mis les pieds. Et comme toujours, envie d’y aller, même si on connait.
Je me suis replongé dans mes photos de mon séjour sur place, et ça m’a fait un bien fou!
Alors j’ai eu envie de mettre une photo de l’emblème de la ville, à savoir sa Giralda (la girouette). Quasi 10 ans plus tard je ne saurais dire le nom de la rue, mais avec elle en point de mire, on ne peut la louper!
Oui, toi, là, le Eric, toi, arrives-tu à voir comme il me fut possible, quelque temps, de faire des montages sans l’aide de tu sais quoi comme logiciel hyper cher?
Vue en 3 photos de la ville de Cadix depuis l’une des tours de sa cathédrale en direction des terres.
Ces deux photos seraient plus intéressantes si on les juxtaposais mais je n’ai pas de logiciel pour ça et si vous savez comment faire, je suis preneur.
Alors ce soir il y a un Des Racines et des Ailes en Andalousie, au fil du Guadalquivir. Il y sera fait allusion à Séville avec le bâtiment des archives des Indes et de la place de l’Espagne. Il y aura aussi un reportage sur le quartier de Triana.
Séville, il y aura 10 ans que j’y serais aller… Pffff
Les 2 photos sont prises depuis le haut de la Giralda, l’ancien minarêt de la mosquée qui fût détruite par les chrétiens, Giralda qui tient lieu depuis cette conquête, de clocher.
La première photo est prise en direction de la Place de l’Espagne que l’on devine aux 2 tours. Au premier plan le Real Alcazar…
La seconde photo montre une partie du Real Alcazar et le bâtiment sur la droite de forme carrée le monuments des archives des Indes.
Au loin, le Guadalquivir…
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PS de dernière minute!!!!
Un merci à Eric qui (comme dit dans son commentaire) a fait le montage que je peux pas faire. Un bon maçon a de bons outils et moi, j’ai pas d’outils!
Ce n’est pas la première ou la dernière fois que je prends une photo dans les transports en commun. A cette occasion, je me suis fait chopée. Je ne me suis rendue compte qu’elle m’avait vu qu’après avoir zoomé sur le visage. Hummm… Elle n’a pas l’air d’être contente.
Fils de Branon et d’Egida, Ivy serait né au nord du Pays de Galles ou en Ecosse dans le milieu du VIIème siècle.
En 685, Ivy décide de quitter son monastère pour protester contre l’uniformisation liturgique imposée par les anglo-saxons.
Il débarque à l’embouchure du Léguern près de Yaudet. Il descend le Blavet dont il reliera les 2 rives par un pont (Pont-Ivy) sur un site plus facile d’accès. Bientôt naquit une modeste bourgade, qui connut ampleur et prospérité lorsque la famille des vicomtes du Rohan la choisit comme fief, Pontivy.
Il meurt un 6 octobre, vers la fin du VIIème siècle. On l’invoquait contre les coliques des jeunes enfants: leur chemise était jetée dans l’eau de sa fontaine, au bord du Léguier; si les manches flottaient, la guérison était certaines!
Et de nouveau une photo d’un café sur la terrasse d’un café. A croire que je passe plus ma vie aux cafés que dans les musées lorsque je suis en vacances estivales.
Un instant photographique de cette journée du 5 aout à Angers et il était 10h04 du matin. A cette heure là je ne savais aps que ma vie allait changer du tout au tout le soir même autour d’un autre café.
Je me risque aujourd’hui à mettre en ligne une vidéo tout en sachant que ça ne me réussis pas trop de mettre des vidéos sur mon blog. Sur des blogs en général, pas uniquement sur le mien. Bah oui, d’ici peu il ne sera plus en ligne sur YouTube et il y aura un beau carré à la place en disant que « la vidéo aura été supprimée ».
Bref, voici Riche, l’un des titres de Claudio Capéo. Le bonhomme, j’accroche guère, surtout sa voix « rauque ». Dans ce Riche, il chante normalement. Alors que l’on m’explique…
Passé la journée d’hier à entendre cette chanson en boucle, via YouTube.
J’adore cette mélodie (un piano tout gentil à la « Amélie Poulain ») et ces paroles si vraies.
Bon, il se trouve qu’en plus de la chanson il y a aussi le clip et j’aurais reconnu la pointe de Pen-Hir que l’on voit lorsque nous sommes sur la presqu’île de Crozon, en Bretagne, cette délicieuse région Française.
La pointe de Pen-Hir avec son fameux Tas de Pois : Grand Dahouët, Petit Dahouet, Penn-Glaz (tête verte), Chelott, Bern-Id et Ar Forc’h (la Fourche).
Cet avancement fut anciennement nommé à cause de leur forme Pézeaux ou Tas de Foin avant d’être rebaptisé au milieu du XIXe siècle en Tas de Pois.
Le clip montre aussi lePHARE DE PENMARCH. Donc avec la pointe et le phare, nous avons 2 sites que j’aurais vu en aout dernier! Comme quoi, la Bretagne, ça vous gagne!
Lors de mon avant-dernière visite à Guédélon il y avait une association venue visiter les lieux. Et pour faire plus que couleur locale, habillés façon « Les Visiteurs ».
Bien placé pour prendre la photo qui tue, on a ça comme résultat.
pour qui ne saurait pas pourrait croire qu’ils font partie des gens travaillant à Guédélon. Mais bon, certains avec des épées et d’autres avec des arcs et flèches. C’est pas avec ces armes que le chantier va avancer! Je dis ça et je dis rien!
« If we all spit together, we can drown the bastards » – Bob Crow (traduction: si nous crachons tous ensemble, nous pouvons noyer les batards/connards)
Bob Crow était le représentant / secrétaire général du syndicat du transport ferroviaire en autre. Il faisait des dégâts dans les négociations quand il y avait une grève!
Idy est un saint né au IVème siècle. il ferait partie d’une fratrie de 63 enfants.
Selon la légende, Idy vient en aide à un imprudent qui avait pactisé avec le diable, représenté au pied de la statue. La chaussure qu’il tient entre les mains symbolise son échec: alors qu’il tenait sa victime par le pied, il ne put l’emporter, l’homme sur les conseils d’Idy, ayant dénoué ses lacets de son soulier… et le démon se retrouva avec la chaussure dans les mains pour seul butin! Idy prononça alors la formule consacrée gravée à l’arrière de la statue.
Je pars du principe que quand on s’invite à se faire caricaturer, on est aux yeux de tout le monde… car on est en pleine rue!
Ben ce jour là, j’ai failli me prendre une baffe par le père de ce gamin.(te souviens-tu le Manu?). Il m’a demandé de suite d’éliminer la photo que je venais de prendre. J’ai fait momentanément ce qu’il m’a ordonnée… ou presque.
Il y a vraiment des cons sur terre. C’est comme si tu allais à une manif. un anniversaire, un musée et que tu te promenais avec une pancarte : interdit de me prendre en photo!
Quand j’étais plus jeune, on s’amusait toujours dans ces fontaines, on s’éclaboussait…on buvait l’eau…on allait chercher des pichets d’eau pour la maison…. Le bon vieux temps…
Hier Verchizeuil, soit 4mn montre en main de chez moi, aujourd’hui Verzé, soit 3mn. Donc 2 jours de suite où je ne vous emmène pas bien loin.
En plus, hier une église romane, aujourd’hui une autre, avec des bases roman, vous allez vous demander ce qu’il m’arrive…
Alors cette photo montre c’est vraie une église, l’église Saint Jean-Baptiste qui est dédiée à Saint Jean-Baptiste. Consacrée à Saint Jean-Baptiste, cette curieuse église, romane à l’origine, a été reconstruite en 1847. C’est sans doute pour cela que le transept et le clocher sont situés à l’avant de l’édifice.
Mais c’est surtout le panneau de direction qui vous dit par où passer pour aller chez moi. Et oui, à Igé il y a la chapelle juste à coté de chez moi.
Voilà, si vous étiez perdus, ne l’êtes pu!
La chapelle Saint-Criat est une chapelle romane du XIe siècle, dédiée à Jésus-Christ sous le vocable de saint Criat .
Elle est située à Verchizeuil (hameau de Verzé) qui se trouve non loin du village où j’habite, Igé.
Elle appartient de nos jours à un particulier qui n’a pas les moyens pour la restaurer. Mes photos sont de décembre 2012 et à l’heure actuelle, une large bâche recouvre l’édifice… en attendant.
Né au VIè siècle à Plouzévédé, en petite Bretagne, ermite puis moine à Plouvien, Hervé vécut en compagnie de son guide, le jeune Gui’haran et d’un loup apprivoisé.
Hoarvian, père d’Hervé, était barde, musicien-poète venu de l’ile de Bretagne. Quand Eiwanon mit au monde Hervé, l’enfant était privé de la vue.
Hervé est le saint patron des poètes et des bardes, ainsi que des aveugles.
Tiens Nath, hier après-midi, je suis passée près de cette fontaine. Elle se trouve dans une propriétée privée et bien sûr, la Zora a toujours avec son appareil-photo dans son sac…
Quand j’étais plus jeune, on s’amusait toujours dans ces fontaines, on s’éclaboussait…on buvait l’eau…on allait chercher des pichets d’eau pour la maison…. Le bon vieux temps…
… parce que Oudon, vous lui envelez son château, ce n’est ni plus ni moins qu’un village lambda sur la planisfère Française.
Chez wiki nos amis, vous liriez ça: Oudon tiendrait son nom de la rivière qui traverse la commune, le Hâvre, anciennement « Vld » en latin (prononciation « Ould ») décliné en « Ouldo », « Odonium », « Uldonium ».
Le château de Oudon est bâti en pierre de schiste et de gneiss, les chaînages horizontaux et d’angles sont en tuffeau. Le donjon, élément majeur du monument, a les mêmes caractéristiques que celui de la forteresse de Largoët dans le Morbihan, construit à la même époque par Jean II de Châteaugiron, frère cadet d’Alain de Malestroit , mais les éléments décoratifs sont inspirés de celle des châteaux de la Loire.
Elle est haute de 32,5 mètres et surmontée d’une tourelle octogonale de 7,45 mètres. Les murs sont épais de 3 mètres. Les mâchicoulis sont décorés de motifs tréflés.
Quand j’étais plus jeune, on s’amusait toujours dans ces fontaines, on s’éclaboussait… on buvait l’eau… on allait chercher des pichets d’eau pour la maison…. Le bon vieux temps…
Au coeur de ce charmant village des bords de Loire, le château fort, communément appelé la Tour d’Oudon, impressionne et intrigue par son architecture remarquable, depuis plus de 600 ans.
Les datations: construit à la fin du XIVe et au début du XVe siècle, sur le site d’un ouvrage plus ancien, il a été remanié au XVIe siècle, et restauré aux XIXe et XXe siècles.
Ce que l’on voit de nos jours, pour les parties démolies, date de l’après révolution Française.
Divisé en parcelles, il est acheté en 1807, par des propriétaires locaux qui démantèlent des parties du château pour en récupérer les matériaux (marches des escaliers, planchers, pierres).
En montant du Hâvre vers la tour de Oudon, on passe au milieu d’arbre qui rentrent dans l’optique de mon végétalisme mais aussi pour rendre heureux qui en avait demandé, 2 jours plus tôt.
Ne trouvez-vous pas reposant ce Hâvre de paix? En plus ce n’est pas de la moquerie puisque Oudon se trouve au bord d’un cours d’eau dont son nom est le Hâvre.
Instants d'années 
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